Le travail du deuil, peut se nommer : le processus de deuil.
Il sagit d’un chemin qui est fréquenté peu pour certains et trop souvent pour d’autres. Lorsqu’on perd un être cher on vit un deuil, ce qui suit est tout son cheminement. Il est inutile d’essayer de le fuir, ça engendrera plus de souffrance. Ce travail du deuil donne l’espoir qu’il y aura un jour nouveau à la fin de cette souffrance. Ça nécessite de prendre son temps et être doux avec soi. Il n’y a pas de ligne droite dans le deuil avec un point au bout. Pour moi, le processus est comme prendre une marche en forêt. Il y a des obstacles, vous serez essoufflé, fatigué. Il y aura des embûches. Des moments où vous aurez l’impression d’être pris dans cette forêt, perdu, sans reperds et puis, plus vous vous approchez, plus le chemin s’éclaircit et pouvez enfin apprécier le paysage, votre cœur rempli de gratitude et de voir tout ce le chemin parcouru.
Si vous ne faites pas les efforts, vous n’avancerez pas. C’est un travail, un chemin inévitable pour être mieux dans votre être. Le travail de deuil est unique à chacun, vécu différemment selon votre personnalité, vos croyances, votre passé. Personne ne peut vous juger que vous ne le faites pas assez vite. En connaissant les étapes de deuil, vous comprendrez qu’il y a pleins de choses normales que vous allez vivre et ainsi détabouiser le deuil animalier.
Voici les étapes de deuil selon Jean Monbourquette. Psychologue qui s’est spécialisé dans le deuil.
1-le choc
2-le déni
3-l’expression des émotions : angoisse, tristesse, colère, culpabilité, impuissance
4-prise en charge des tâches reliées au deuil
5-recherche d’un sens à la perte
6-l’échange des pardons
7-accepter la perte définitive
8-L’héritage
Dans les prochains articles je vous parlerai de chaque étapes. Ça vous permettra de vous situer dans votre deuil de votre animal.
Il s'agit d’un chemin qui est fréquenté peu pour certains et trop souvent pour d’autres. Lorsqu’on perd un être cher on vit un deuil, ce qui suit est tout son cheminement. Il est inutile d’essayer de le fuir, ça engendrera plus de souffrance. Ce travail du deuil donne l’espoir qu’il y aura un jour nouveau à la fin de cette souffrance. Ça nécessite de prendre son temps et être doux avec soi. Il n’y a pas de ligne droite dans le deuil avec un point au bout. Pour moi, le processus est comme prendre une marche en forêt. Il y a des obstacles, vous serez essoufflé, fatigué. Il y aura des embûches. Des moments où vous aurez l’impression d’être pris dans cette forêt, perdu, sans reperds et puis, plus vous vous approchez, plus le chemin s’éclaircit et pouvez enfin apprécier le paysage, votre cœur rempli de gratitude et de voir tout ce le chemin parcouru.
Brigitte Bérubé, thérapeute spécialiste du deuil
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